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  • Marie-Laure Lagarde

La différence significative ou, le point de bascule

Dernière mise à jour : 16 juil. 2020

Si je m'équilibre, le monde s'équilibre. La connaissance expérientielle de l'unité de conscience.

«The Hundredth Monkey» de Ken Keyes Jr ou le "Centième singe". Trouvé là, dans une salle d’attente hier. L’histoire de macaques Fuscata du Japon observés à l’état sauvage sur l’île de Koshima de 1952 à 1958. Nourris de patates douces, une jeune femelle de la communauté eu l’envie de laver les patates à l’eau claire avant de les consommer dés lors dénuées de sable, ce qu’elle enseigna aux naissants pendant plusieurs années alors que les anciens se refusaient à adopter cette nouvelle habitude alimentaire, jusqu’à un point de bascule.

En 1958, 6 ans plus tard, après l’apprentissage d’un énième singe, on constata que tous les macaques avaient maintenant cette habitude alimentaire spontanée de laver systématiquement leur patate douce avant de la consommer, un réflexe qui avec étonnement des scientifiques, était désormais inscrit non seulement chez tous les macaques de la communauté de l’ile mais également des iles avoisinantes bien qu'il n'y ait entre eux, aucun contact possible ni même visuel.


Une expérience qui interpelle sur la différence significative et le point de bascule : cet énième singe qui rendut sans le savoir cette connaissance potentielle ou cette conscience universelle accessible à l’ensemble.

Cet équilibre atteint, là où l’information est rendue disponible à l'ensemble. Une conscience éveillée pour tous.

Un bel espoir lumineux qui nous invite à poursuivre notre éveil et être peut-être nous-mêmes ou à accompagner à l’éveil de peut-être, cette énième conscience qui sera le point d’équilibre, le point de bascule, la différence significative. Lorsque la conscience éveillée individuelle éveille l'inconscience collective.

Ne nous rendormons pas, demeurons éveillés, continuons à grandir en amour et à partager cet amour.

Que notre éveil et notre amour éblouissent.

Nous sommes des êtres informationnels, animés d'une même énergie, unique et universelle ; l'expression dans notre matérialité d'une conscience primordiale unifiée, une information commune. Là, disponible, accessible à notre éveil.


Si j'ai pu penser que nous étions dans une unité d'éveil tous perdants ou tous gagnants, je comprends que ce n'est pas le cas. Pour une conscience éveillée de l'humanité, l'éveil de tous n'est pas nécessaire parce que nous n'avons pas tous fait individuellement le choix de l'éveil. En revanche, nous avons tous choisi notre contemporanéité humaine. Terrienne. Celle du libre-arbitre, inhérent à notre essence et à notre naissance. Celui de nous éveiller un peu, pleinement ou pas du tout, maintenant, plus tard ou jamais. Certaines individualités préférant la dualité à l'unité.


Et je me rappelle le plan de la conscience primordiale, celui de l'éveil. De l'éveil à ce qu'elle est, conscience et unité primordiale faisant le choix de l'expérience de la matérialité en se scindant en autant de particules différentes pour expérimenter la Vie et l'amour. Manifestement, le point de bascule nécessaire à l'éveil de l'humanité n'est pas encore atteint alors, se présentera certainement cette opportunité prochaine de davantage d'éveil. D'autant qu'une course contre la montre semble s'être initiée...


D’après vous, se peut-il que la conscience primordiale faillisse à son dessein ?


Gardons en conscience que la peur est une opportunité d'amour. L'humanité en pauvreté d'amour pourrait bien avoir à nouveau peur.


L'ombre et la lumière sont toutes deux l'expression de la conscience primordiale. Elle le choisit. Et l'ombre, depuis la nuit des temps de la création œuvre pour la lumière. Est-ce que ce n'est pas le déséquilibre qui m'éveille et me permet de choisir l'équilibre ?


Bel éveil lumineux, sous la lune et les étoiles d'un ciel d'été.

Namasté




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