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  • Marie-Laure Lagarde

Depuis son décès, je ne suis plus la même

"Vis la vie puisque tu n'es pas mort de la mort" Texte des Pyramides égyptiennes


"J'ai perdu quelqu'un qui m'était proche et depuis, je ressens un immense chagrin. Un profond désespoir". "Plusieurs mois après, je suis toujours aussi inconsolable". "J'ai perdu gout à la vie". "Je ressens à la fois de la peine et de la peur". "Chaque fois que j'entends prononcer son nom, je m'effondre en larmes". "Je suis devenu irascible. 'Je sens qu'il y a quelque chose qui ne va pas dans ma maison, je ne m'y sens pas bien". "J'ai tout le temps froid". "Certaines pièces de la maison me paraissent moins lumineuses que les autres, désagréables".


Il y a plus de cinq milles ans et pendant un peu moins de trois milles ans, la civilisation égyptienne, tout comme les peuples du soleil qui renait chaque jour perçant l'obscurité, avait conscience du parcours de l'âme, considérant


la mort comme une continuité naturelle de la vie vers la lumière, une renaissance. Le livre des morts était appelé le livre de "voir le jour".

Les tombeaux érigés en pyramides, liens privilégiés entre le ciel et la terre, et les monuments funéraires, disposaient de conduits orientées vers les étoiles du ciel comme pour guidée l'âme et lui donner l'élan pour son ascension céleste, continuité de sa vie en être de lumière et sa renaissance. La peine liée à la mort n'était pas vécue en souffrance solitaire et silencieuse. Le nom, l'image, perpétuaient la vie du défunt dont on peignait des portraits rendus vivants à force de couleurs et invoquait le nom avec joie pour encourager son immortalité, son passage dans l'au-delà et sa réincarnation. Pour gagner son immortalité, l'égyptien s'évertuait à une vie vertueuse, respectueuse du divin et de l'ordre social humain.


Depuis l'antiquité et jusqu'à il y a moins de cinq cents ans, s'endeuiller était se revêtir de blanc.


Cette connaissance oubliée qu'avaient les civilisations berceaux de l'humanité, certaines âmes demeurent dans notre espace-temps sans poursuivre leur chemin de vie et leur présence auprès de nous, perturbe nos corps d'énergie pouvant aller jusqu'au déséquilibre. Beaucoup d'entre nous le ressente mais choisissent de ne pas écouter leur expérience, qui pourtant est le moyen le plus juste de savoir.


Si vous expérimentez de tels ressentis, vous pouvez choisir d'accompagner l'âme en présence en la guidant vers la lumière avec beaucoup d'amour. Si vous le souhaitez, je peux vous aider dans cet accompagnement et vers le retour à l'équilibre, par une séance de soin énergétique. Les informations ici.







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